L’IMAGE ET SA SÉDUCTION DANS L'ENTREPRISE
L’image a toujours été au centre des préoccupations de l’être humain, elle est une enveloppe qui communique silencieusement, voluptueusement, spirituellement, négligemment, révolutionnairement, parce qu’elle est sexuelle… Pour mieux la comprendre, observons l’image d’un peu plus près…
Lorsque l'image parle de sexualité, elle est loin des stéréotypes sociétaux, elle occupe surtout l'espace de la beauté et du renouvellement. La beauté n'a pas de critères, ni de "méthodes" elle est une lecture de la vie.
L'image est l'expression d'une résilience sans cesse renouvelée. Apprendre son langage c'est apprendre à s'aimer, et à aimer son environnement parce qu'elle est indissociable d'un cycle, celui de la nature.
Ce que nous voyons de l’image face à son miroir représente la pointe de l’iceberg, mais c'est ce qui se cache dans les profondeurs de l’être qui s’exprime à l’extérieur.
Et c’est cet intérieur qui forme un lieu intime où se logent la créativité, les sentiments, les goûts, la sensibilité, les plaisirs charnels et intellectuels…
Dans cet espace fragile se cachent tous les secrets d’un être humain, sa beauté et ses tourments, c’est un environnement sentimental et sensoriel qui fera de l'image extérieure son univers, entre ombre et lumière. Et sa séduction un mode opératoire...
Ainsi le maquillage par exemple tel qu'on le connaît dans nos sociétés, est né dans les alcôves des châteaux dans ses nuits libertines, de Versailles en Italie… On s’était aperçu lors de ces nuits d'amour que les joues et les lèvres se coloraient de rouge et de rose, et la peau devenait plus blanche, et comme une palette de couleurs les yeux changeaient de lumière et s'illuminait, c’est dans cette observation que l’on a voulu retranscrire les couleurs de la jouissance en maquillant son visage de toutes ses teintes.
L'image a beaucoup voyagé dans le monde et a suivi le parcours artistique en mettant en valeur ce qu'elle nourrit le plus : l'illusion...
Et puis il y a eu le monde de l'entreprise avec ses codes qui exigent l'éloignement de toute promiscuité sentimentale et sensorielle qui viendraient nuire à la rentabilité professionnelle et économique.
Mais la séduction n'a que faire des codes, de l'argent et des conventions ! Par conséquent elle n'en fera qu'à sa tête, pour "être" et "réaliser" ce qui lui semble nécessaire à sa survie, si ce n'est pas à travers le plaisir charnel, la séduction trouvera d'autres chemins pour exprimer son besoin irrépressible d'exister et d'être reconnue...
La séduction est une grande sensible, qui a terriblement peur de mourir, de vieillir, mais surtout d’être abandonnée.
La séduction s'identifie aux peurs, la peur de ne pas "être", la peur de ne pas vivre, la peur de passer inaperçu, la peur de l'échec, la peur de ne pas être aimé, et cette peur sera ressentie dès le plus jeune âge.
Dans un langage non-verbal et dans un mécanisme inconscient, cette peur peut nous jouer de mauvais tours en s'immiscent dans les relations au travail, soit en créant des rapports de forces ou des mouvements de rejet, ou de fuite, ou encore des abus de pouvoir.
C'est la séduction qui va déterminer nos relations apaisées ou au contraire qui va les rendre désastreuses. Là, où il y a image, il y a séduction et peur inconsciente, et là, où il y a peur, il y a projection et attente, et c’est dans ce jeu de miroirs que naissent les malentendus.
La séduction est un langage physique qui communique avec son image et avec l'autre puissamment, et parce qu'elle détermine un mécanisme que nous avons construit depuis l'enfance, plus elle est sereine avec son miroir, et plus elle se vivra apaisée avec l'autre au travail.
Exister dans le regard de l’autre peut devenir un besoin insistant dont on perçoit la fragilité, ou la tyrannie, on pourrait penser que face à cette fragilité on soit tenté de le ou la protéger, hélas c’est tout le contraire, parce que cette fragilité vient résonner dans la nôtre.
Au travail, la séduction s’immisce partout dans les relations humaines. Qu’elle s’exprime en mettant des distances ou à travers des familiarités, qu’elle soit exubérante ou transparente, timide ou audacieuse, sexy ou laisser-aller, tout le temps, la séduction est là et dessine nos peurs à notre insu.
Aristote disait que la connaissance de soi est le début de la sagesse, pour ma part je dirai que nous n'avons pas une vie assez longue pour explorer un univers aussi vaste qu'est notre "iceberg", mais comprendre, savoir, connaître, s'interesser à l'image de soi, est sans aucun doute le début d'une démarche constructive vers une conscience positive et créative, et des fois même dans le parcours cette connaissance il se produit des miracles !
Comprendre le langage de la séduction c’est entendre l’entité fragile qui ne nous quitte jamais, pour en faire une amie et une coéquipière. Faire de ses fragilités une connaissance de soi, c'est un savoir qui décuple ses forces et ses talents. Quand on parle d’image, la fragilité peut s’avérer sur le terrain être une très grande force.
Parce que la séduction appartient à l'image dans son expression esthétique et psychologique, j'ai créé une méthode qui permet personnellement ou collectivement de comprendre comment notre séduction inter-réagit et ce qu’elle projette sur l’autre. La conférence est très efficace aussi pour cette connaissance sur l'image de soi.
Pour en savoir plus sur le sujet de la séduction au travail, n’hésitez pas à me poser des questions ou à me contacter : lyndabismuth@yahoo.fr
L'IMAGE DE SOI DANS L'ENTREPRISE
Actuellement l’image de soi est traitée par deux univers bien divisés : l’esthétique et la psychologie, pour ma part je me situe sur le pont qui les relient pour traiter l’image comme elle se présente à moi, de façon unitaire." Il est temps que ce traitement de l'image voyage en dehors des élites politiques et des stars pour offrir cette connaissance qui traite le charisme, l'excellence et la valorisation dans l'univers de l'économie.
Cet été, il y a eu un procès pour un nombre impressionnant de suicides dans une entreprise à l’enseigne prestigieuse.
On pourrait penser que c’est un épiphénomène isolé, mais si on devait comptabiliser les placards, les phrases assassines, les exclus et les privilèges dans la même pièce pour mieux faire ressentir la dévalorisation, les virer, les abus de pouvoir, les harcèlements, les humiliations, on obtiendrait un chiffre d’affaires impressionnant, qui ne bénéficie pas à l’entreprise bien au contraire.
Tous ces évènements entremêlés qui débarquent au cœur du travail sont une évidence, parce que nous sommes des êtres humains avant tout, et que nous embarquons notre inconscient partout où l'image de soi circule.
Aujourd’hui l’entreprise demande d’être à la pointe de son activité, en plus de devoir supporter une concurrence féroce, et d’être incollable dans l’univers du digital. Toutes ces exigences sociétales éloignent l’entreprise de "l’humain" pour servir la performance, et ainsi l’argent devient le maître des lieux qui ne pardonne aucun écart, aucune faute de comportement, ce qui sous-entend que le fragile, le faible, celui qui doute, l’endeuillé, le divorcé, celui qui n’a pas dormi à cause du bébé, le chagriné, doivent laisser tout ça à la maison et l’étouffer avec son coussin au féminin.
Seulement voilà le CAC 40 ne nous dit pas la vérité...
On a beau mettre toutes ses billes sur internet et ses robots, faire bonne figure, se fracturer de l’intérieur et à l'extérieur pour que tout glisse sans avoir le moindre remords, la moindre empathie, le moindre souci, et mettre sa compétitivité au centre de tous les enjeux, ça ne changera pas que la fibre qui nous anime ce sont les sentiments, et que de les étouffer ne sert non seulement pas l'entreprise, mais en plus ça amplifie les dégâts au niveau de la société, même quand toutes les apparences prouvent le contraire.
Parce qu'à l’ère de la robotisation et du "tout va bien", ça sera qand même Joker qui l’emportera au box-office et ira à la remise des césars !
Et si nous mettions l’intérêt "humain" au centre de l’argent et de la réussite plutôt que le contraire ?
Prenons exemple sur les années 1900 où prospéraient trouvailles, inventions, réflexions, argents, bourgeoisies… C’était une époque qui a concentré de véritables génies de Marie Curie à Maria Montessori, d'Einstein, à Charlie Chaplin, de Victor Hugo à Émile Zola… La liste est bien trop longue pour la nommer ici, mais ce qui est certain c’est que cette kyrielle de noms, loin d’être exhaustive à régner sur une époque de géants, pourtant ça sera le petit nazi qui aura le dernier mot sur le génie.
Parce que l’on ne peut pas marcher à contresens des sentiments humains et son environnement sans les comprendre, en plus de nier que ce sont eux qui construisent notre avenir. Comprendre cela serait finalement la plus grande des inventions du moment, parce qu’elle permettrait enfin de faire entrer ce que "nous sommes" par la grande porte en faisant des sentiments une force et non une faiblesse, une unité et non une fracture.
L'image de soi a beaucoup à apporter à l’entreprise dans son fonctionnement parce que cette connaissance détermine le regard que l’on a sur soi et c’est individuellement qu’il bâtit le collectif ; partie de cette équation, elle destine l’ensemble de nos relations, mais aussi nos échecs et nos réussites. Travailler l’image de soi au sein de "l’image de l’entreprise" apporte des bienfaits dans l’univers du management mais aussi au niveau des gains par les prouesses qui en découlent, en plus de valoriser l’individu. Ce travail fait sortir l'entreprise de sa zone de confort et par là-même travaille la confiance en soi, ce qui génère le meilleur de l'autre et de soi-même.
Pour en savoir plus sur le travail de l'image de soi et ses méthodes n'hésitez pas à me poser toutes les questions que vous souhaitez savoir ou de me contacter : lyndabismuth@yahoo.fr
coach image & stratégie communication
L'IMAGE ET LE STYLE
Les plus grands de ce monde ont écrit sur le style :
“Le style, c’est l’oubli de tous les styles.” Jules Renard
“La première qualité du style, c'est la clarté.” Aristote
“Le meilleur style est celui qui se fait oublier.”Stendhal
Sans compter la papesse du style qui disait :
"La mode se démode le style jamais" Gabrielle Chanel
On constate alors, que lorsque l'on parle du style...
On parle de tout, sauf de mode !
On parle d'émotion, de sensibilité, de sincérité, de couleurs, de détails, de lumière, d'authenticité...
Le style fait et des défait la mode.
Mais comment savoir si nous avons du style ?
Comment décrypter notre style ?
Je vais donc tenter à travers ce dossier vous éclairer sur ce sujet...
Comprendre dans un premier temps que c'est la mode qui s'inspire du style...
Et non le style qui s'inspire de la mode, parce que lui, se fout complètement du regard de l'autre...
Le style est un incorrigible rebelle
Le style n'a qu'un seul souci dans la vie c'est pouvoir s'exprimer librement...
Le style ne se préoccupe pas d'être beau, il vient de nulle part, d'aucun code, d'aucune éducation...
Le style c’est l’expression qui insufflera l’inspiration à vivre dans le mouvement...
Le style est un poète sans argent, du moment qu'il s'émeut de l'instant présent.
Le style n'a ni besoin de marque ni besoin de code pour exprimer sa beauté.
Le style c'est comme une musique qui sort de nous-mêmes,
Et si les notes qui sortent de notre âme ne sont pas entendues avec une fine oreille...
Si elles sortent incohérentes entre-elles, alors le style se transforme en un mauvais goût,
et disparaît pour devenir une cacophonie...
Voilà pourquoi, définir son style, c'est comprendre sa personnalité... C'est surtout l'entendre.
C'est travailler son être pour écouter sa musique intérieure, et peu importe qu'elle soit triste ou gaie...
Il ne faut pas avoir peur de sentir cette liberté vous envahir...
Apprivoisez l'invisible,
Ecoutez sa quête esthétique...
Respectez son identité...
Le sex-appeal n'est pas là où on le croit...
Le sex-appeal réside dans l'invisible émotion, la dualité de l'être et sa part contraire...
Ne cherchez pas ailleurs qu'en vous-même, pour plaire...
Le style raconte toujours une histoire,
n'hésitez pas à raconter la vôtre à travers des accessoires...
Portez une ambiance...
Soyez un parfum...
Un détail ...
Oubliez le temps qui passe, le style ne connaît pas l'heure....
Pitié ! Crie le style :" tu t'es cru où, à l'école ?! Jette-moi ces codes ! Fait l'école buissonière ! Entends vivre l'histoire de ton corps, et si jamais il a beaucoup pleuré ou vieillit ou que sais-je encore, tant mieux !Il détient le savoir de l'expérience, et ça c'est la plus grande des lumières.
Les fêlures sont les seules à faire passer la lumière...
Ne te prends pas au sérieux,
parce que le style est une histoire sérieuse.
Et le style continue à s'exclamer en disant : "pourquoi veux-tu ressembler à tout le monde" ?!
Je ne te plais pas avec mes rides ?
Il est où ton problème Narcisse ?!
Aie confiance en moi, sinon comment veux-tu, que je vive sous ton charme, si tu me jettes dehors ?!
Comment puis-je m'exprimer si tu veux ressembler à quelqu'un d'autre ?!
Pour mieux me comprendre, je vais te raconter comment j'ai créé un de mes styles...
Tout à commencer par un beau matin de printemps, je me suis levé avec l'envie d'être libre, de revendiquer mon appartenance à une culture, à une identité, à une façon de penser, d'être, j'ai eu envie de réveiller l'âme de mon aïeul, dont sa mémoire vivait en moi, il était un poète dans ces années où vivait la lumière des intellectuels....
Et où le romantisme s'exprimait comme un révolutionnaire... Il faut dire que j'étais fou amoureux d'elle...
Et c'est comme ça que m'est venu l'idée de me pousser la barbe et d'adopter un style lointain, qui était le mien....
Et c'est comme ça, que j'ai vu mon style se multiplier, et déambuler dans les rues urbaines, on m'a même attribué un nom : "hipster"....
Depuis on est passé à autre chose... Elle est comme ça la mode, elle consomme des styles...
À l'époque du grand cinéma des années 50, l'image à Hollywood était une affaire d'État, et le bistouri n'existait pas, tant mieux, parce que les conseils en image redoublaient d'efforts pour déchiffrer les personnalités qui allaient faire la gloire de l'Amérique, tant leurs personnalités allaient péter l'écran, pour ce faire, les coachs allaient chercher les détails d'une personnalité.
Ici vous avez Marilyne, dont sa carrière décolla le jour on lui a teint les cheveux en blond platine, et en les coupant court, dans le but de révéler sa candeur d'enfant, c'était dans cet espace "souffrant" que résidait sa lumière. Ainsi naquit son style, et on peut voir un détail : elle était complètement épilée, toujours dans l'optique de révéler une sensualité candide.
Et ici vous avez Sophia Loren, et c'est tout un autre style que les coachs en image de l'époque voulaient obtenir. Ils voulaient laisser exprimer l'Italie du sud, cette terre chaude et aride, donc pas d'épilation ! On voulait que la "brune-attitude" émane tel un parfum de sensualité, pour ne pas dire de sexualité ! Un volcan, un tonnerre, pour un coup de foudre ! C'est ça le style, il accompagne la personnalité, et en même temps il cherche la lumière pour pouvoir s'exprimer, en osant tout !
Pour conclure... Chacun de nous porte une histoire sociale, identitaire, affective...
Et ce sont toutes ces histoires qui forment votre personnalité où se niche votre style.
Trouvez-le !
Déclarez votre amour ...
Cherchez cette lumière...
Et je vous garantis une séduction irrésistible...
Bien plus lumineuse et charismatique que n'importe quels "codes moulés en duplicatas", que l'on vous vend dans les rayons "Marketing" et ses papiers glacés.
L’IMAGE ET LA PÉDOPHILIE
Il est impossible de parler de l'image dans sa quête esthétique, en évitant ce sujet, parce que "LUI" abîme "l'mage de soi", plus que tous les autres.
On parle de la pédophilie, mais connaît-on vraiment le sujet ?
La pédophilie est étudiée dans le monde de la psychologie et ce sujet est précieusement gardé dans les universités et les bureaux des psys, d'une part, parce que trop complexe pour le commun des mortels et d'autre part, parce que c'est un sujet qui demeure encore en exploration.
En effet, on n'a pas tout compris sur les mécanismes "ultras complexes" de cette maladie psychiatrique. Les théories sur ce sujet vont bon train, elles patinent à travers des thèses des fois contradictoires, certains vont nommer les pédophiles des pervers, d’autres vont dire qu’ils ne le sont pas tous, on parle de psychopathie… Mais comment dénouer ce sujet obscur qui nous parle de plaisir coupable, de soumission, de culpabilité, d’innocence, d’abus, de destruction de personnalité…
Ce sujet est tellement anxieux, noueux, compliqué, entremêlé, qu’on l’informe à travers des campagnes de « sensibilisation », mais en réalité il reste très superficiel pour la population dans sa "compréhension".
Pourtant plus que chez les psys, les universités, et les bouquins, c’est la société elle-même qui doit comprendre ce sujet pour qu’elle l’intègre comme un « crime » à ne pas reproduire. Mais comment ne plus reproduire un fait qu'on ne comprend pas.
REPRODUIRE...
C’est donc un sujet qui se transmet entre individus à travers des faits, des gestes, des mots, des images que l’on voit, que l’on assiste, que l’on ressent…
Que l’on ressent ? Il est là le problème…Parce que la sexualité et son développement identitaire sont des univers que l’on ressent, ce qui explique la difficulté à mettre en lumière ce sujet, à l’accéder, à l’attraper dans sa conscience.
Le pédophile plonge "l’estime" de sa victime dans l’espace le plus sombre de sa personnalité. La pédophilie détruit le développement identitaire.
La pédophilie parle de la sexualité et de sa destruction,
au coeur même de son développement et de sa croissance.
COMPRENDRE CE SUJET C'EST COMPRENDRE L'IMAGE DE LA SEXUALITÉ
Toute notre planète parle de sexualité comme un cycle heureux, joyeux, et coloré, la fleur n’hésite pas à exhiber ses plus beaux pétales pour attirer l’abeille et ainsi la vie s’exprime, pour notre plus grande joie.
Saison après saison, la mort fait renaître ce mouvement énergétique et coloré pour enfanter et répandre amour et beauté avec générosité. La vie est sexuelle pour le bonheur de vivre et revivre...
Toute la nature est en quête d’harmonie. Il faut bien comprendre que l’amour, les couleurs, les sentiments, sont nés de la mort pour les offrir à la vie, ce cycle est un savant équilibre entre ombre et lumière. Comprendre le cycle de la sexualité c’est accepté la fragilité et la force qu’elle déploie pour nous faire vivre.
L’être humain appartient à ce cycle, au milieu de ce mouvement et au coeur de cette diversité, il est "un" des maillons qui s'intègrent pour former "un tout". Comprendre ce mouvement, c'est réhabiliter l'image de la sexualité dans la beauté du monde...
Au même titre que la vie, la sexualité d'une personne ont besoin de ce temps pour se construire.
DÉTRUIRE LA SEXUALITÉ C'EST DÉTRUIRE LA VIE ET SA BEAUTÉ
Le pédophile parle de destruction au moment où le développement narcissique et sexuel d'un enfant se construit.
Au moment où l’image de soi et son miroir s'embellissent, la pédophilie vient l'enlaidir.
La pulsion du pédophile est de tuer l'innocence, de la posséder, de l'entrainer prématurément vers un plaisir du corps pour la rendre coupable de ce plaisir, et ainsi pervertir l'amour et son innocence en un abus de pouvoir pour qu'il règne en culpabilité.
La ou le pédophile veut tuer la candeur, il veut la voir détruite, c'est un mélange entre un(e) pervers narcissique qui exerce un abus de pouvoir, doublé d'un(e) psychopathe qui veut tuer pour posséder la mort, pour détruire le renouveau, la beauté, la naissance, la vie, la sexualité. C'est la violence poussée à son paroxysme.
Pour imager cette pulsion et la symboliser à travers une image, c'est détruire l'élan du printemps dans ce renouveau, dans ce mouvement qu'on nomme la vie.
Abuser un enfant dans une sexualité qui n'est pas encore née, c'est s'en prendre à la vie elle-même, pour qu'elle mûrisse trop vite, et qu'elle demeure inachevée.
Même si certains diront que je fais des raccourcis sur sujet un "ultra sensible", j'assume en concluant que tous les abus de pouvoir, naissent du "pervers narcissique".
Et j'en déduis alors, que la perversion narcissique fait naître une palette de maladies psychiatriques, de la plus chronique à la plus grave, de la plus sévère à la plus criminelle.
Il faut imaginer la perversion narcissique comme une palette de couleurs, où par exemple il y a une multitude de noirs nuancés, du bleuté, à l'anthracite etc... Mais la gamme reste le noir.
La perversion narcissique c'est le tronc d'arbre qui met naissance aux branches différentes, de la plus petite, à la plus grande, de la plus tordue à la plus entremêlée, mais elles viennent toutes de la même racine...
Voilà pourquoi, ce sujet est complexe parce qu'il ramène au fonctionnement d'une société.
Combien au sein des familles sont-ils à donner du plaisir coupable à l'enfant sans le savoir, et se prolonge dans les mécanismes de notre société ?
Combien sont-ils à parler à l'enfant de façon insidieusement perverse sans l'entendre, et se prolonge dans les mécanismes de notre société ?
Combien sont-ils à salir l'image d'un enfant sans le voir, et se prolonge dans les mécanismes de notre société ?
Combien sont-ils à salir le développement identitaire d'un enfant sans le ressentir, et se prolonge dans les mécanismes de notre société ?
Combien toutes ses petites actions perfides et perverses inondent le quotidien de l'enfant jusqu'à faire pousser la dernière branche qui sera la plus tordue d'entre elles...
"Le pédophile".
La pédophilie est un virus qui contamine la vie.
Et c'est la perversion narcissique et ses syndromes de Stockholm qui l'idolâtrent qui enfantent le plus terrible des prototypes son "pédophile".
Voilà pourquoi ce sujet se perd dans des thèses, voilà pourquoi la justice n'arrive pas à gérer ce problème, voilà pourquoi la société se permet d'abuser encore et encore dans le travail, dans les familles, dans les couples, dans les gouvernements... Et qu'ils restent impunis, sans conscience.
Parce qu'on refuse de traiter le sujet de la pédophilie comme un phénomène social, au sein d'une société aux codes décadents, on ne veut pas traiter le sujet dans le fond, c'est-à-dire, dans la manière dont nous éduquons nos enfants à regarder la vie, la nature, la sexualité, le rapport à l'enfance et à l'autre... Le rapport à "LA BEAUTÉ".
Les gouvernements où sortent les lois, refusent d'enseigner le sujet de la beauté dans une vision globale et spirituelle.
Ils préfèrent entretenir l'histoire des guerres et ses conquêtes.
Et ce sont ces mêmes guerres, ces dictateurs, ces pogroms, ces colonisations, ces conquêtes de l'homme sur l'homme, ces courses au pouvoir et à l'argent, qui ont engendré l'arbre du pervers narcissique et un de ses fruits : le pédophile.
J'en veux pour preuve que chaque civilisation programmée à conquérir l'homme, avait comme projet la pédophilie comme art de vivre, parce qu'elle touche la population à la racine dans son développement identitaire, elle la rend malade, insensible, violente, décadente et suicidaire, afin qu'elle permet la conquête.
Et en plus de tout ça, un fait nouveau se greffe à cette théorie : la science vient de prouver que les gênes ont une mémoire et qu'elles transmettent leurs traumatismes aux générations à venir.
Voilà pourquoi je souhaite élever ce sujet à son plus haut niveau, à son unité, à sa naissance, pour prévenir l'humanité, qu'elle ne survivra pas à détruire ainsi les fondamentaux qui ont construit les bases de notre survie.
Les lois : admettre le temps qui passe et sa mort, être empathique avec l'autre dans le présent, prendre conscience de la nature et ses bienfaits et respecter ce qu'elle nous impose, même si ça ne nous arrange pas, être un exemple en tant qu'adulte, savoir regarder la beauté partout où elle se trouve et ne pas la diviser à travers des codes de papiers glacés pour qu'elle soit lucrative, reconnaître qu'on a besoin de l'autre... Sont des gardes fous qui permettent de construire l'avenir de l'humanité.
Ni l'argent, ni le pétrole, ni les énergies, ni le pouvoir, ne seront plus forts que ...
"Toute la nature est en quête d’harmonie. Il faut bien comprendre que l’amour, les couleurs, les sentiments, sont nés de la mort pour les offrir à la vie, ce cycle est un savant équilibre entre ombre et lumière. Comprendre le cycle de la sexualité, c’est accepter la fragilité et la force qu’elle déploie pour nous faire vivre."
La sexualité doit avoir l’image qu’elle mérite à savoir la remettre dans l'univers de la "Beauté" pour la respecter, et ainsi, faire grandir nos enfants loin de la haine de soi, de la frustration, de l’abus, et toutes ses actions qui salissent l’image de la vie.
L' IMAGE : DE LA PROFONDEUR A L’ÉPHÉMÈRE
L’image nous parle du rêve...
Et de l’identité…
De la beauté éphémère
à la beauté profonde…
Comme une alchimie l’image se réalise en une valeur humaine et identitaire...
Passant de l’ombre à la lumière …
Dès lors, que les échecs se transforment en une victoire,
Et que l'on fait de son vécu un savoir...
De cette exploration de "l'être", l’âme découvre sa quête esthétique...
Et révèle son style...
De là, il s'exprime à travers une couleur venue de l'enfance...
Une allure venue de sa nature ...
Une courbe qui signe ses origines...
Une couture venue de sa coupure...
Pour vivre un épanouissement éphémère...
Et sublimer son image ...
Dans le rêve de"devenir"
une lecture qui le révèle...
Dans le mouvement d'un corps...
Dans l'expression d’un visage...
Dans le scintillement d'un regard...
Dans un vêtement qui souligne une courbe,
Dans un geste
qui devient un don,
Dans un sourire qui le renvoie au miroir de sa vie…
Pour une sensualité qui l'inonde...
L'illumine...
Laissant sa trace sans avoir peur du temps qui passe...
Et c’est tout l’art «d’être» qui devient le sens de la vie...
Et c'est un homme à femmes qui l'a dit !
Le conseil en image intervient dans cette rencontre harmonieuse pour que l'image se réalise entre l'éphémère et le profond...
Pour exprimer ce que l’on « est » dans une beauté authentique qui ne ressemble qu’à soi...
En laissant les "failles" entrer la lumière...
Pour illuminer son "être" ...
Son paraitre...
ses rencontres...
Et servir une communication authentique,
et une image rayonnante...
Pour "être" libre de laisser son empreinte au gré du vent...
Et s'unir au cercle de la vie...
Qui guide chaque jour nos pas sur le chemin de la beauté...
Pour un tissage parfait
Entre look...
Et philosophie
L'IMAGE, LA SEXUALITÉ, ET SON IDENTITÉ
Ça faisait longtemps que je devais compléter mon blog avec un sujet essentiel sur l'image, la sexualité et son identité.
Et c’est le sujet du voile à science po, qui m’a donné l’inspiration pour traiter ce sujet...
L'image est un kaléidoscope, et ses sujets sont aussi multiples que les couleurs du monde...
Et comme mon métier est de travailler l’image, je vais donc parler du port du voile, en invitant mes convives à prendre un billet pour un envol, loin des tourments politiques, pour aborder cette actualité dans une compréhension beaucoup plus humaine.
Que veut dire une image habillée d'un voile dans le langage non verbal ?
Avant de parler d'un sujet, il est important de comprendre les mécanismes de l'image et son langage non verbal.
Parce que l'image a beau vouloir jouer la jolie, ou la révolutionnaire, la fausse ou l’authentique, la légère ou la contestataire, elle n’en demeure pas moins une grande sensible.
Il faut savoir que l'image ne parle que de sexualité, partout et tout le temps, peu importe ce qu'elle nous raconte...
À tel point que pratiquer le métier de sexologue sans aborder les problèmes narcissiques, c'est tout simplement incohérent, voire impossible. Depuis les années-lumière, Freud et les psys en tous genres ont débattu sur la sexualité et son développement identitaire…
Mais l'univers psychologique de l’être humain et sa sexualité, sont plus vastes que les fonds marins, par conséquent dans ce domaine tout reste à déchiffrer.
Comprendre la sexualité et sa psychologie, et rendre cette compréhension accessible à la population, serait une avancée extraordinaire pour l’humanité. Parce qu’on n’imagine pas comme ce sujet influence notre « être » et par conséquent dirige nos sociétés dans ses dérives ou ses avancées.
Pour mieux comprendre, essayons de commencer par situer l'espace sexuel.
La sexualité est un lieu où l’être humain cultive à l’intérieur d’un espace intime et profond, ses sentiments, sa sensorialité, sa créativité, ses émotions, son identité...
Et c’est pour toutes ses raisons que l’espace sexuel d’une personne est d’une extrême fragilité dans son développement.
C’est à l’âge de la « conscience identitaire » que cet espace se détermine dans ses choix, ses désirs, et ses envies…
Voilà pourquoi l’adolescence est une étape fragile pour un être humain, parce que c’est à cet âge que la sexualité se met en place psychologiquement et physiquement, et ce changement s'opère comme un grand bouleversement pour l'individu...
Le développement identitaire d’un être humain est aussi musical que les 4 saisons de Vivaldi...
Il faut imaginer un être humain comme un arbre...
Sa sexualité et ses émotions se développent à l’âge des saisons.
L’automne est une saison coloré, mouvementé, agité, on situe cette saison au développement identitaire, émotionnel, et sexuel, entre la gestation dans le ventre d’une mère, jusqu’à 3/4 ans. À ce stade, la sexualité est au niveau de la spiritualité, elle est quasiment mystique. On constatera que dans l'univers de l'amour, la mort c'est la vie.
L’hiver est une saison sourde et froide où les sentiments sont gelés, elle se situe émotionnellement entre 4 et 13 ans. À cette étape, la sexualité est dans les profondeurs du développement identitaire d’un être humain. Tout l’arbre généalogique se met en place dans les mémoires érotiques.
Arrive le printemps cette saison se situe entre 14 ans et 25/30 ans. À ce stade la sexualité naît, vit, explose, et c’est ici, que les tourments du développement identitaire et sexuel apparaissent.
L’été se situe entre 30 ans et à la fin de sa vie. À ce stade la sexualité évolue en maturité. Ici, les dés sont joués, jetés, et rien ni personne ne peut arrêter ce train en marche. Hormis les conquérants de l’homme sur l’homme, qui détruisent les identités sexuelles dans leurs cheminements, pour les dominer.
La sexualité utilisera l’image pour s'exprimer d’une façon totalement inconsciente, mais tellement parlante. Campagne Gucci... Bizarre !
Par exemple une image peut exprimer une violence, un refoulement ou au contraire une légèreté.
Mais ce n’est pas parce que l’on s’habille d’un style, que cela veut dire que l'on exprime une sexualité "vécue"; car pour la grande majorité des cas, on ne connaît pas l’histoire de ses goûts et de ses couleurs, ni pourquoi on s’habille d’une façon ou d’une autre, c’est parce que, tout simplement c’est la sexualité inconsciente qui s’exprime à travers l'image.
Par conséquent on s’habille sans savoir que notre tendance sexuelle tend vers "un" désir...
Par exemple lorsqu’un styliste dessine un modèle en "cuir clouté", il exprime dans son langage non verbal une sexualité dominante, à tendance sado-maso...
Le voile n'a aucun autre langage que celui d'exprimer une sexualité, et sa sexualité est la soumission.
Lorsqu’une femme s’habille d’un modèle androgyne elle exprime une sexualité ambivalente, voire homosexuelle....
Le style "maison close", pour Dior, exprime un érotisme "payant"... !
Etc…
En conclusion, la liberté d’autrui commence par respecter ses identités sexuelles et ses expressions multiples et hautes en couleurs...
Mais en aucun cas, elles ne doivent être prosélytes, ou manipulatrices, pour servir une cause politique....
Sous peine d’étouffer l’autre dans son identité sexuelle...
Ce qui sera vécu comme une intrusion sexuelle, et par conséquent ce prosélytisme se vivra par l'autre comme une violence physique. Et sera rejeté violemment tôt ou tard.
Personne ne peut imposer une identité sexuelle à l'autre différente de la sienne. Personne !
Parce qu'il faut comprendre que l'identité sexuelle d'une personne, c'est les racines d'un arbre. et que l'on ne peut pas changer ou forcer un "etre" vivant, à transfromer ses racines pour servir un pouvoir quelconque. C'est complètement illusoire de penser cela.
Le colonialisme "identitaire" est la plus grande folie de l'homme, à cause de son ignorance.
C'est en général autour de l''image de la femme que se joueront les enjeux de la domination et de la soumission, parce qu'elle porte en elle, la sexualité et l'avenir de l'humanité, libre ou aliénée.
Aujourd'hui nous fêtons le 21 avril 1944 en France les femmes obtiennent le droit de vote et d'éligibilité au même titre que les hommes !
L'IMAGE ET LA VIEILLESSE
L'image et le temps qui passe sont devenus la peur de tous les instants...
Les années 2000 sont profondément marquées par la peur de vieillir...
Mais pourquoi cette" peur" conditionne-t-elle notre état d'esprit...
Jour après jour comme une vague sur un rocher...
Elle sculpte notre façon de voir, de penser, d'aimer...
Cette course contre le temps,
véhicule nos valeurs au son d'un vide sidéral,
celui du temps qui passe... Envers et contre tous.
Essayons d'y voir un peu plus clair en prenant de la hauteur, et en osant regarder la vieillesse
droit dans les yeux...
Afin de comprendre pourquoi vieillir devient si effrayant,
et admettre enfin, qu'il y a urgence à changer de perspective...
Parce qu'il y a du mépris à dénier le temps qui passe, et déplace nos valeurs vers un nombrilisme et une illusion stérile...
Ce qui engendre une dévalorisation de soi-même et de son image,
et du regard que l'on pose sur l'autre...
Mais aussi, et surtout, l'absence de respect à la vie elle-même,
à son rythme,
et à ses lois.
Durant le parcours de l'homme,
on peut constater qu'il a passé son temps à braver la mort en domptant la nature...
Il a fait grandir sa peur jour après jour,
pour unique raison... Hurler à la face de l'univers :
pourquoi m'as-tu fait éphémère ? Pourquoi vivre pour mourir ?
Cette question est le véritable tourment insidieux et inconscient de l'être humain...
Il fait fi de ne pas l'entendre...
Il efface toute trace du passé...
Mais hélas rien n'y fait !
Mortel il naît, mortel il vit, mortel il devient...
Et personne ne sait où cela le mène, ni pourquoi il vit, ni pourquoi il meurt...
Ni pourquoi son image se fane...
Bien ! Maintenant que les choses sont dites et que le jeu est posé...
Si on observait ce tourment ...
Sous un angle différent...
Pour éviter de vivre le temps qui passe,
sous le poids d'un fardeau,
ou le vivre comme une tragédie...
Mais plutôt comme une lecture profonde du temps qui passe...
Un "lâcher prise" sur les forces de la nature...
En cessant de croire que l'on maîtrise tout ... Même le cycle de la vie...
Pour poser un regard sage sur l'existence...
Et par conséquent sur soi-même...
Vous n'y arrivez pas ?
Vous avez peur ?
ça tombe bien ! Tout le monde a peur, sauf ceux qui ne croient plus en la vie.
Alors qu'avons-nous comme alternatives pour mal vieillir ?
1 : "dénier" ...
2 : "mépriser" ...
3 : "Prévenir" avant même que le vieillissement arrive...
4 : "idolâtrer" la beauté et s'identifier à elle comme une "ultime" valeur...
Pour une désillusion fatale...
5 : "s'accrocher "
à sa jeunesse perdue...
6 : "miser que sur les apparences"...
"Idéaliser" Barbie !
Et "que sur les nouvelles technologies".
7 : "Penser que la beauté est ailleurs qu'en soi"...
8 : "Vivre avec des regrets"...
9 : Être persuadé que le bonheur se trouve dans une jeunesse éternelle"...
Sinon qu'avons-nous comme alternatives pour bien vieillir...
Stop à l'illusion !
Se souvenir que nous ne sommes pas des autruches, et que nous ne fonctionnons pas comme elles !
Mais que nous sommes bel et bien des êtres humains dotés de possibilités infinis à réfléchir...
Pour laisser un avenir meilleur...
Et comprendre que le regard que nous posons sur le monde...
Est le même que nous posons sur soi...
C'est ça vieillir...
Malgré que la vie soit souvent dure avec nous...
Et qu'elle nous transporte dans une confusion entre rire et larme...
Il n'en demeure pas moins que l'aventure humaine et la vie sont passionnantes...
Prenons notre pied à voir le temps qui passe...
Restons jeune face à notre miroir, car seul notre regard compte...
Restons alerte...
Sur l'évolution du monde...
Les rides photographient notre vie, elles sont les expressions de notre vécu,
ne les effaçons pas coûte que coûte !
Soyons les garants,
de cette évolution...
Plutôt que de vivre dans la nostalgie d'une jeunesse perdue...
Sachons-nous aimer,
comme nous sommes...
Et comme nous devenons...
Restons sexy à tout âge...
Vibrons au son de la musique sans jamais nous lasser d'elle...
(la cigarette et le cigare sont à proscrire mesdemoiselles ! :)
La joie est le meilleur sérum contre la vieillesse...
Jouons à tout âge !
Sans perdre sa candeur...
Vieillir est un luxe inestimable pour "être" sans avoir rien à prouver à personne...
Devenons un guide...
Pour les générations futures...
Entendons le rythme des saisons sous nos pas sans en être effrayé...
La vieillesse nous contraint à lâcher...
Tant mieux ! Acceptons cela en gagnant en liberté "d'être" et "de vivre"...
Que l'homme est un regard bienveillant sur la femme...
pour qu'à ses yeux elle demeure jeune à jamais...
Que la femme admire l'homme pour qu'à ses yeux il demeure jeune à jamais...
Ah l'amour !
Il est le top des liftings !
Si ce n'est pas lui... Si ce n'est plus elle... Pas grave !
Continuons à aimer sans cesse...
L'amour entretient le coeur, et l'âme jeune...
Pensons à ne former qu'un avec l'univers sans avoir peur...
La rencontre avec "l'autre" nous font découvrir des ressemblances troublantes...
RELATIVISONS ! Philosophons...
"Que l'homme ait toujours deux poches. Dans l'une, il inscrira : je ne suis que poussière,
dans l'autre : le monde n'a été créé que pour moi." (Bounm de Pssikhe)
En clair ne perdons jamais espoir.
Évitons de demander à notre miroir : "qui est la plus belle" ? ...
Ce rapport de force durcit les traits d'un visage...
Les mains nous trahissent... ?
Tant mieux ! Enfin un élément sincère et qui ne ment pas ! Absolument soyez-en fier(e) !
Les traits s'adoucissent avec le temps...
Evitons de trop se maquiller en pensant rattraper le temps perdu... Pour un effet contraire !
L'enfance crystalise la lumière de notre image,
et cette lumière vit en nous jusqu'à la fin de notre vie...
Et plus encore... Si affinités !
Le coaching en image intervient dans l'accompagnement de ces changements...
Il aide à prendre confiance en soi...
Dans cette étape importante qui est celui de prendre de l'âge,
et tous les bouleversements qui les accompagnent...
Le coaching en image vous guide vers votre beauté intérieure...
Et allume les projecteurs sur votre apparence...
Il vous montre combien cette étape est intéressante,
et contre toute attente il vous libère du regard de l'autre,
et de la dictature d'une jeunesse éternelle,
pour une réconciliation et un épanouissement personnel...
Le coaching en image vous apprend qu'il ne faut pas essayer de fuir le temps...
Ni d'avoir peur de finir seul(e)...
Ou triste...
Parce que la vie ne cesse jamais de vivre en vous...
Aussi bien dans les rencontres amoureuses...
Que dans les opportunités professionnelles...
Que dans les amitiés...
La vie continue dès lors que nous sommes en mouvement...
Tout en charme ...
En savoir et en sérénité...
Mon travail consiste à vous guider vers cette sérénité...
Au nom de la vie...
L’IMAGE LE RACISME ET L’ANTISEMITISME
Préface : Voir la beauté en toute chose...
« Libres, vous le serez seulement lorsque le désir même de chercher la liberté sera devenu pour vous un harnais, et lorsque vous aurez cessé de parler de liberté comme d’un but et d’un accomplissement.
Vous serez vraiment libres non pas lorsque vos jours seront sans souci et vos nuits sans désir ni peine, mais plutôt lorsque votre vie sera enrobée de toutes ces choses et que vous vous élèverez au-dessus d’elles, nus et sans entraves.» (Khalil Gibran)
On ne peut pas parler de l’image et de sa beauté, sans parler de l'image et de la haine, sous prétexte que ce sujet dérange. La haine détériore les traits d’un visage et d’un corps de façon spectaculaire...
Aucun être humain sur cette terre, naît raciste et antisémite...
Pour que le racisme et l'antisémitisme s'imprègnent dans le comportement humain, il faut que celui-ci soit gavé jour après jour aux codes et aux langages de la haine...
Et il est préférable que cet individu soit très jeune, pour son esprit « malléable » à l’endoctrinement …
Le langage de la haine est tellement bête et absurde dans ses fondements, dans sa logique, et dans son ignorance...
La haine a besoin d'utiliser tous les clichés, les préjugés, les rumeurs les plus incensés à travers l'image et sa communication… Le juif en 1903
Le juif en 1940
Ci-dessous tous les clichés de la propagande antisémite, depuis des siècles sont réunis, le juif au nez crochu, grandes oreilles et regard du diable, les dents de requin, la bague en or, les drapeaux du sionisme et de son ami l'américain, et surtout transformer la shoah en détail de l'histoire. Pourtant... Cette affiche date de 2013 et fait un tabac sur la toile du web.
Et on constate que les rumeurs les plus folles perdurent dans les mémoires collectives au fil du temps...
Les israélites en 1940
Les israélites en 2013
La haine ne peut pas se passer de méthodes perverses, et de diviser les êtres humains entre eux, sous peine de ne plus exister...
Diviser les êtres humains sera le premier challenge de la haine pour exister,
et tout commencera par la communication de "l'image", et des mots, pour dénoncer les différences qu'il y a entre les êtres humains...
Le rejet de l’autre induit le repli sur soi...
Et engendre le communautarisme...
Chaque communauté rejetée s’unira par necéssité, pour trouver réconfort et soutient entre elle...
L’injustice de ce rejet provoquera la colère de certains, et là où il y a colère, la haine n’est jamais très loin pour faire son recrutement…
Et c’est dans ce décor que "les différences" se diviseront…
Et c'est dans ce processus que la haine étendra son pouvoir pour prendre possession des espaces qu'elle s'appropriera.
Et c'est dans une confusion d’images, que la haine se glissera insidieusement pour créer "l'amalgame" ...
Et ainsi maintenir la division entre les êtres humains à travers les clichés que véhiculent les différents aspects de l'image, afin que la haine puisse régner en maître des lieux...
Le pire ennemi de la haine n’est pas la guerre... Au contraire elle adore ça !
Ni l’amour, que la haine méprise au plus haut point, le jugeant mièvre et idiot...
Contre toute attente le pire ennemi de la haine... c'est la "Beauté" ...
L'enseignement de la beauté en toute chose...
Pour danser avec la lumière...
La lecture du monde nous parle de la différence comme une grande richesse…
A partager …
Dans l'univers on peut naitre...
avec l'image d'un chêne...
ou l'image d'un Olivier...
D'une rose...
Ou la fleur d'un cactus...
Avoir des modes de fonctionnement différents...
Aux saveurs différentes...
Et pourtant faire partie intégrante de la chaine de la diversité, Comme une nécessité à la vie elle-même...
L’éducation se concentre "trop" à apprendre la division...
Mais pas assez sur la lecture du monde, sa beauté, son image, et le respect qu'on "doit" lui porter...
Et cela dès le plus jeune âge pour comprendre sa "raison d'être", sa place, et l'estime de soi...
Cette compréhension et cette connaissance sur la valorisation de son image, et de la beauté en toute chose, apporterait une avancée spectculaire à l'humanité.
Bien plus que n'importe quel progrès "techno-logique" actuel.
L'HOMME : LE VÊTEMENT ET SON LANGAGE
Messieurs vous pouvez remercier vos potes homos !
Grâce à eux vous osez tout ! Et en beauté ! Vous séduisez tout en style, vous êtes super glamour !
Jamais le langage du vêtement pour homme fut autant délicat et libre...
LE TRENCH :
Un classique qui a fait ses preuves dans le temps.
Intemporel il n'a plus rien à prouver autant par sa couleur que par sa coupe,
il finira un style, du dandy au classique,
du bobo au branché,
du fin fond de l'armoire il vous dira toujours présent !
LA MONTRE :
elle est "l'accessoire" pour homme,
elle finit une tenue par sa touche de couleur,
par sa ligne,
par sa marque...
Du collectionneur au branché, de l'amateur au consommateur,
elle porte en elle le langage de votre style,
déchiffre votre compte en banque,
et apporte au regard du temps qui passe un geste qui inscrit l'homme dans une infinie sensualité ...
Elle est le diamant au masculin !
LES CHAUSSURES :
elles finissent votre toilette, embellissent votre sihlouette, marquent votre allure, lookent votre style, elles communiquent votre image...Au look de vos chaussures on en dira long sur votre standing et même sur votre personnalité... Bref ! Elle sont "l'évidence"...
LES CHAUSSETTES :
on les réinvente comme un accessoire, tantôt marrantes,
tantôt glamour, tantôt poètesses, tantôt peintres,
tantôt classes,
elles se déclinent en plusieurs lectures,
pour une touche très personnelle, un poil rebelles !
LE NOEUD PAP' :
il fait son grand retour !
Du look décalé
au look branché
il apporte une touche vintage et classieuse au style dandy,
et à l'original de la poésie !
LE NOIR :
de l'ombre à la lumière,
le noir ni feminin ni masculin, nous parle de l'infini troublant...
Classe, intemporel et indétronable
il prône par son élélgance...
LA COULEUR :
elle porte un langage... Le pourpre celui de la sensualité, profond il nous envoûte...
LE JAUNE : il est solaire et lumineux, attention à son double langage il peut vite créer une insolation, il faut donc l'aimer par touche de couleur...
LE NOIR ET JAUNE : ou l'écrin et son bijoux, son look rétro donne de l'éclat au noir et apporte un aspect précieux au jaune...
LE VERT : il se nourrit de la terre et parle au ciel,
LE VERT ANGLAIS : il est élégant et raffiné, il n'aime pas la médiocrité, il aime la sobriété....
Subtil - élégant - profond,
il s'impose comme une valeur noble
et se démarque par son aspect élitiste made in scool of london...
LE ROUGE : il nous raconte la passion !
Quand il naît de la terre il nous parle d'ivresse,
il prône en caïd face aux couleurs qui l'accompagne...
Dans une palette de couleur on l'aime par touche subtile...
Il réveille une silhoulette de dandy
en un séducteur sans pudeur...
LE BEIGE : sa pureté n'a pas d'égale.
Infidèle Il aime le noir...
Mais pour garder sa noblesse il se marie avec le blanc...
il rêve de grands espaces comme le désert,
Face au temps qui passe, il garde toute sa grâce !
Parlez lui d'élégance et il vous habillera de son charme...
LE BLEU : il est la mer et le ciel,
du sable à la terre avec lui les couleurs de la nature se marient pour former une harmonie...
Il éclair un teint,
illumine la couleur qui l'accompagne,
il est beau et incontournable...
Le bleu du jour au bleu de la nuit...Le noir et le bleu : un mariage exquis !
User et en abuser voilà sa devise !
LE GRIS : il est un poète à lui tout seul,
il embaume une poésie,
il éclair une mélancolie,
il change de lumière au rayon du soleil,
et il n'y a qu'avec lui qu'on visite les couleurs de l'arc en ciel...
Il est classe, élégant, fragile, il aime les matières nobles...
Le gris et le bordeau forment un joli couple...
LE CACHEMIRE :
il est bourgeois et simple à la fois, donne au pull un tombé inégalable, aux couleurs pastelles une touche douce et lumineuse, il incarne la matière noble !
LA POCHETTE :
elle finit votre tenue,
elle coordonne et rappelle les couleurs les plus invisibles d'un tissage,
elle apporte de la grâce à un vêtement
et la poche soupir de désir...
à son regard avisé...
LES PETITS POIS :
ils incarnent le glamour,
ils coordonnent les couleurs entre elles,
ils pétillent !
Pour apporter une touche piquante et sensuelle au vêtement...
LE DETAIL :
il est le raffinement absolu !
Chaque détail rappel le subtil,
la quête esthétique,
le perfectionnisme,
l'élégance,
méfiez-vous de l'homme qui cultive le détail rien ne lui échappe...
Tout réside dans "le détail"...
Le langage du détail est subtil et délicat, trop de détail tue le détail ...
LE TWEED :
tissu noble et raffiné,
subtil dans ces tons...
Il est l'élégance conjuguer au masculin,
il incarne le raffinement,
il accompagne le mouvement du corps,
apporte à votre ligne une touche classieuse,
donne au gris de l'éclat, marie le blanc dans sa pureté,
il est à tomber avec son gilet...
Bref on l'adore !
LE STYLE SPORTSWEAR :
Du jean's au t.shirt ..
il incarne la "cool attitude"
par son look détaché,
avec lui on lache prise,
on fait sauter les uniformes
pour laisser place à la liberté
d'être
et de vivre...
LE PANTALON :
Il s'est totalement laché,
et c'est sans aucun complexe qu'il se décline en toutes les couleurs,
du rouge,
au bleu vif, en passant par le jaune canari, le orange,
le pantalon homme s'exprime à qui veut l'entendre
qu'il a bien l'intention d'affirmer sa part de féminité !
LA BASKET :
Ben elle aussi fait sa révolution ! Terminer le jogging ! Elle revendique l'égalité des chances, l'égalité sociale ! Exige d'accompagner le costard même le plus raffiné des trois pièces ! De plus elle prouve que ça fait classe de se mélanger ! Elle nous a convaincu ! On adore !
LE JEAN'S :
du look détente
il s'impose aujourd'hui au look habillé avec une veste de costard, en tweed, en lin...
Il habille toutes les silhouettes, toutes les catégories sociales,
tous les rendez-vous, rebel, il a imposé sa loi anticonformiste,
et s'est rendu conforme aux yeux de la société,
il se décline en plusieurs styles,
confortable, intemporel... Quoi dire de plus sur lui ?! Hormis qu'on ne s'en passe plus !
LA CHEMISE A CARREAUX :
elle est passée du bucheron viril
au mec sympa au café du coin !
En plus il est super sexy ... Et plus si affintés !
LE STYLE VINTAGE :
frais, sympa il raconte les années beach boys,
on l'aime parce qu'il personnalise un look !
avec son ptit'air rockabilly !
LES LUNETTES :
contre toute attente elles sont étonnantes !
Outsider elles démarrent sa course boiteuses, laides et défigurent un visage.
Elles finissent en star attitude !
Incontournables, confortables, de plus, elles sont devenues super sexy !
Quand Mr dégaine pour ôter ses lunettes
et laisse apparaître son regard
plus rien ne lui résiste !
L'ECHARPE :
caméléon, elle passe d'une expression institutionnelle à une attention délicate...
Elle réchauffe la voix et le coeur...
sans oublier d'être esthète,
elle aime les matières nobles,
tantôt rebelle et décalée,
elle a fait de la géométrie un art de vivre !
LA CEINTURE :
elle est passée d'un accessoire pratique
à l'accessoire stylé,
qu'elle soit ethnique,
Elle encercle la taille d'un homme,
pour nous rappeller
qu'à partir de la ceinture...
Tout est une question...
de détail ...
LE GILET :
il vient d'un temps passé , d'Alfred Musset à Victor Hugo,
on l'imagine bien se ballader dans les rues d'Paris nous conter sa poésie...
Il a un charme fou !
Il évoque le savoir...
Il apporte une touche terriblement subtile à la veste,
il adoucit les couleurs qui l'accompagne...
LE BLOUSON :
il dessine le torse, souligne les jambes et donne un esprit rock'n roll à la silhouette ...
LE SAC :
la femme n'a plus son monopole !
Au bras de l'homme il devient sobre,
classique,
sportif,
intellectuel,
voyageur de grand chemin,
LE BOUC OU LA BARBE :
ils dessinent les lèvres, donnent un style "négligé-viril-à souhait"
ou scénarisent le visage en poète des temps modernes...
Il y en a pour tous les goûts,
et ils font tous craquer !
LE STYLE :
Coco chanel disait de lui : "la mode se démode, le style jamais",
le style est une déclaration d'amour !
Il exprime ce que vous êtes,
il revendique la reconnaissance,
il nous parle de l'existence...
Le conseil en image :
vous aide à découvrir votre expression esthétique
pour que votre être s'incarne dans votre paraitre
pour créer votre propre style...
POUR VOUS INSPIRER....
L'IMAGE ET L'ABANDON
Après avoir traité plusieurs sujets qui freinent à l'épanouissement personnel et à l'estime de son image, comme la culpabilité, la peur de vieillir, l'identité, le déni, la perversité...
Aujourd'hui je souhaite vous parler de "l'Abandon"...
Comment et pourquoi ce sentiment dévaste la confiance en soi et celle que l'on porte aux autres...
Pour toucher en plein coeur son "image"...
Et celle du monde...
L'abandon est un acte
Mais il est aussi un ressenti...
Venu de l'enfance...
Par l'entourage familial...
Par la société...
Par la mort...
Par l'amour...
TOUT COMMENCE PAR UN REGARD
Le sort d'un enfant dépend du regard de la mère et du père,
Être "Abandonné" c'est avoir le sentiment de ne pas être reconnu dans son existence...
Et se sentir effacer...
Au coeur de sa vie et sa raison d'être...
Ce sentiment créé chez "l'être" un séisme intérieur sans précédent...
Vacillant entre frustration, haine de soi-même, et désespérance...
Il y a même des nourrissons qui refusent de s'alimenter parce qu'ils se sentent abandonner...
Être abandonné c'est ressentir profondément le sentiment de solitude...
Jamais on ressent la mort d'aussi prêt lorsqu'on se sent abandonné...
C'est pourquoi en période de "deuil", les personnes sont excessivement fragilisées par le sentiment d’abandon...
Dans ces périodes on entendra souvent dire : "je me sens orphelin, ou mes forces m’abandonnent"...
Mais il y a aussi la société qui joue un rôle prédominent...
et son regard qu'elle pose sur la différence...
Le racisme par exemple est un acte d'abandon dans tous ces aspects...
L'abandon est ressenti comme une injustice par la vie et ses tournants...
"L'Amour" et son vertige
est "le" sentiment qui remplit l'espace d'un coeur, comble la solitude, et adoucit la peur d'être abandonné...
Mais il est aussi le plus dangereux, car il n'y a pas plus instable qu'un être humain, constamment en mouvement...
Lorsqu'une personne vous quitte,
on se sent seule avec son amour et sa sexualité, il se créé alors un sentiment de ne pas "mériter sa vie"...
L'abandon s'inscrit dans l'esprit et dans l'âme comme un véritable traumatisme...
Et ce traumatisme répète inlassablement ces mots : "j'ai peur d'être abandonné"...
La peur d'être abandonné et la peur de mourir sont deux sentiments étroitement liés...
Et par une étrange coïncidence, on constate souvent que les deuils précèdent les séparations comme un cri en stéréo...
PERDRE - RECONNAITRE - ABANDONNER LES FRONTIERES SONT SI MINCES
Chaque "être" sur cette terre réclame le droit à l'existence
et à être reconnu et respecter comme une entité vivante...
Dans les conflits il est davantage question de "reconnaitre l'autre" que de territoires...
Des conflits à la guerre, des ruptures amoureuses à une enfance malheureuse, du non-respect de la nature, aux animaux... Tous ces actes et ces sentiments sont liés à la "peur de l'abandon"....
La peur de l'abandon est un sentiment "archaïque" qui prend sa source dans un souvenir lointain...
Très lointain...
Le sentiment "d'abandon" influence aussi la peur de perdre sa jeunesse,
sa vie, ses enfants...
Son amour...
S'IDENTIFIER A L'ABANDON
Marilyn fut un mythe
Beaucoup d'entre nous, pensent que c'est parce qu'elle était belle que son image perdure au fil des années ...
51 ans après son décès on la voit partout même sur nos meubles ! Et rare sont les stars qui ont le privilège d'avoir leurs images s'inscrirent sur une table, une chaise, un fauteuil, un couvercle de WC...
C’est vrai qu’elle était belle la Marilyn !
Pourtant ce n’était pas seulement sa beauté qui captivait la lumière et notre attention...
Personne ne sait ou presque, qu’elle était l’icône de" l’abandon" plus que de la beauté …
Elle exprimait tellement la peur d’être abandonnée...
Comme un miroir en plein soleil, son image reflétait et nous aveuglait sur nos peurs les plus secrètes...
Elle était accessible pour ce cri sourd qu’elle lançait à la face du monde :
« Ne m’abandonne pas » …
On l’aime ...
Mais on ne la respectait pas, car il n’y a pas plus douloureux et dérangeant que s'identifier au cri de l'abandon…
Vivre avec le sentiment d'abandon s'est véhiculer sa vie affective et professionnelle de façon chaotique,
parce qu'il influence le manque de confiance en soi, aux autres, et en la vie...
L'abandon conditionne l'image que l'on donne...
son sourire, ses expressions
et sa séduction...
On captive la lumière et les âmes humaines, dans l'espoir inconscient de ne plus être abandonné...
La séduction devient alors du talent...
L'IMAGE ET LE LAISSER ALLER
Mais le sentiment d'abandon, peut s'exprimer d'une manière différente...
En se laissant aller à l'interieur
et à l'exterieur de soi...
En abondonnant son image
c'est une manière de ne plus plaire...
Et par conséquent de ne plus avoir peur d'être abandonné...
Le laisser aller devient alors un moyen créatif pour "le dire "et "séduire" ...
Et sa vérité nue ... Du talent.
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LE COACHING EN IMAGE
apporte douceur et équilibre à votre image...
Tout en couleurs, en beauté et en harmonie...
Pour poser un regard luminueux sur la vie et sur soi-même...
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